Sujet: † Come meet the death, little bitch. Dim 15 Avr - 13:57
Sometimes, we just need take a gun and shoot.
Listen and shut up...
PRÉNOM : Reira. NOM : Namikawa Koyama. ÂGE : 20 ans. SEXE : Féminin. GROUPE : Villageois. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle , Hétéro, homo, on s'en fou, non ? SITUATION : Libre. POUVOIR : // ARMES: Un katana ainsi qu'un gun.
Fear is how I fall
Caractère + Physique
Délicate jeune femme au regard désarmant, Maniant un sabre avec entrainement, Elle s’en va sur le champ de bataille, Et reviens une épée dans les entrailles.
Un corps des plus banals. Un corps d’humain, un corps de femme. De ses courbes appétissantes. Oui, tu n’es pas une personne qui fait partie des top model, tu n’es pas une super star et encore moins une superwoman mais tu as su prendre en main ton physique et le rendre telle qu’il est à présent. C’est-à-dire non pas parfait mais pas sans charme. Tu possèdes des courbes gracieuses, élégantes, élancés même. La finesse de tes bras te fait paraître fragile et délicate, comme ses épaules vraiment pas larges que tu possèdes. Ta poitrine elle, sait attisée certaines envies. D’un œil curieux voir certainement envieux, il la regarde de leurs façon indiscrète et la seule chose qui s’anime en toi est cette envie de frapper mais ils s’en contre fiche, tu sembles avoir bon goût également, alors ils déposent leurs lèvres sur cette peau laiteuse, comme s’ils dégustaient pour la première fois une chose d’aussi savoureux. Ils embrassent ton visage délicats qui pourtant mécontent fait la grimace. Ils te répugnent. Tous. Mais ils s’enfichent et continues.
Ton visage est très trompeur. Tous croiraient en une jeune femme qui pleine de grâce ne sait que boire le thé. Mais là aussi ils ont tout faux. Alors qu’ils s’apprêtaient à déposer leurs lèvres gourmandes sur ta fine bouche, tu te saisis de ton couteau qui se loge sur une de tes jambes, dans un accessoire qui le tient accroché et tu le faufile au-devant de ton ventre plat et musclé pour qu’il celui-ci s’enfonce dans l’abdomen de cet homme lorsqu’il se collera à toi. Ta peau est laiteuse, blanche, émanant la pureté, tes mains sont semblable à celle des pianistes mais tâché de sang comme celle des criminel. Quel paradoxe ironique.
Tu fais glisser cet accessoire qui accroché sur ta jambe ne possède plus l’arme, il descend le long de ta jambes fines, douces et se fait délaissé sur ce sol froid. Ton faciès qui était courbé vers cet accessoire et se releva pour se retrouver face à cet objet qui reflète l’image. Autrement dit, un miroir. Ton regard un peu perdu, un peu solitaire, un peu triste contemple ce reflet de toi. C’est vrai. Même si tu souris, tu essayes, tu courbes tes lèvres dans un sourire qui sonne faux pour donner à ce visage sans émotions une teinte de gaieté mais ce regard que tu projette reflète le fond de ton âme et conserve cet aspect triste. Avoir de si beau yeux et un tel regard.
Un peu plus en avant t courbes ton corps pour te rapprocher de ce miroir et contempler tes pupilles. Tes yeux sont vert, jaune, marrons très clair. Un peu de tout. Une œuvre d’art je dirais même. Tes cils sont longs et la forme de tes yeux sont en amandes, donnant une courbes qui reste toujours dans la grâce. Encore une fois, voici une situation bien ironique. Dame nature t’as offert un corps qui relève de la douceur pour un caractère des plus merdique. Qu’elle situation comique. Ton souffle forme de la buée que tu essuie de revers de la main.
Le pupille doré qui font de ton œil quelques choses de spécial scrute ta chevelure. Cette chevelure te doit de nombreux surnoms. Dont celui de la fille de la lune. Une chevelure blanche avec des reflets argentés. Vous me direz, dans ce monde ci ,la normalité n’est plus d’actualité, mais pour une villageoise sans pouvoirs, c’est tout de même assez amusant. Tu ne dois pas être la seule mais tu te fiche des autres. Cette chevelure lisse qui tombe en cascade sur tes épaules jusqu’au bas de ton dos n’a jamais été coupé. Excepté cette frange droite. Blanche comme la neige. Qui sait, peut-être que dans le temps tu fus une colombe. Mais certainement pas un ange. Un ange ne nage pas dans le sang…Sauf…Sauf si l’est déchu. Mais avec ton caractère ma chérie, tu n’étais pas un ange , je t’assure. Les êtres de la nuits n’en font pas parties.
